Glisser sur les pentes vierges du Sancy.
Sentir quelques bourrasques me glacer la moustache (parce qu'on est en Auvergne, tout de même), et plus tard, sentir le soleil me chauffer le museau, installé à la terrasse d'un café, en laissant ondoyer mon pinceau sur le papier.
J'ai aimé.
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