Je m'endors souvent avec une sorte de foisonnement pictural derrière les paupières, les dix- quinze minutes qui précèdent le décrochage total jusqu'à l'inévitable bip à trois petits coups que m'inflige mon réveil réglé à 7h03 le lendemain matin. ( pourquoi 7h03, me direz vous? Eh bien je gagne trois minutes de sommeil par jour, sur cinq jours, ça fait un quart d'heure de plus à roupiller, hé). Donc, disais je, ce foisonnement pictural disparait souvent avec les premiers rayons du jour, le lendemain. Sauf parfois.
C'est de là que vient cet oiseau.
Image de printemps.
I often fall asleep with a sort of pictorial abundance behind the eyelids, ten to fifteen minutes before the full sleep until the inevitable beep that inflicts me my alarm clock to 7:03 the next morning. (7:03 Why, you say? Well I win three minutes of sleep per day, five days, it's been a quarter of an hour longer to snooze, heh).So I said, this profusion of pictures often disappears with the first rays of day, in the morning. Except sometimes.This is where this bird is coming from.Image of Spring of a half sleep.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire